Apprendre2.0

@ocarbone Bonjour,
oui, en effet les études de géo donnent la bougeotte ……..indépendamment du fait que le statut de précaire nous oblige si on veut bosser à accepter n’importe quel poste, à n’importe quel endroit, pour n’importe quelle durée.
Il s’agit donc d’être mobile d’un point de vue spatial, mais pas seulement. ce qui implique que la vrai transmission qui nécessite outre l’expérience, des conditions favorables ( au moins le temps de faire un projet et de le mener à bien et que l’on vous fasse confiance en tant que pédagogue (et on peut se planter ) , ne se réalise pas assez:
l’on vous jette dans la cage pendant 3,4,5 années, vous commencez ( sans formation aucune) à prendre de la hauteur, de l’assurance, à utiliser les compétences que vous avez acquises hors EN ……….. pour autant vous êtes le looser de service ( pour la transmission , c’est pas top).
Cela ne concerne pas que les précaires d’ailleurs, mais ce statut amplifie le problème . Cela pose également la question du recrutement et de ce que l’on attend de l’ enseignant en terme de compétences.
En matière de titularisation, le protocole Sapin n’a pas été reconduit et rien ne l’a remplacé( je dis des bêtises, y a le vrai faux CDI, dont les conditions d’accès permettent à trois personnes en France de l’avoir!) donc wait and see. à bientôt.Vir.

@sylvain bonsoir, en réalité ne sont titulaires du corps enseignant du second degrés que les lauréats des concours ( taux de réussite faibles et à mon avis mauvaise évaluation des compétences requises pour le métier, au moins au collège). Pour combler des besoins ponctuels, l’état a recours aux précaires ( contracuels, vacataires) qui peuvent durer ou non en fonction des politiques essentiellement budgétaires( et de leur capacité à s’adapter sans formation aucune!). En ce moment, c’est plutôt
disette et réformettes…….. donc wait and see! à bientôt.