7 Comments

Bonjour à tous,

Un lien pour ceux qui s’intéressent à l’apprentissage sur les réseaux numériques.
http://www.implications-philosophiques.org/actualite/une/plaisir-et-apprentissage-sur-les-reseaux-numeriques/

Bien Cordialement

7 Replies to “Plaisir et apprentissage sur les reseaux numériques

  1. A propos de « L’Apprendre tout au long de sa vie étant indispensable pour conserver son employabilité. »

    Certes ce n’est pas faux … mais est-ce vraiment là l’intéret d’apprendre tout au long de la vie ? Pourquoi devoir limiter le besoin d’apprendre au monde professionnel et au fait de gagner sa croûte ?

    L’apprentissage commence bien avant d’être employable … et heureusement il ne s’arrête pas avec notre carrière pro, et ne concerne pas que nos compétences professionnelles. Je prend par exemple  plaisir à apprendre à jardiner et à cuisiner (j’ai commencé il y’a longtemps, et j’apprend encore couramment de nouvelles choses), pourtant ces compétences n’intéressent pas mon boss.

    Apprendre tout au long de sa vie n’est pour moi pas « choix », c’est un fait, une attitude globale : c’est ainsi que l’humain a toujours fonctionné ! Oui les NTIC ont données une autre ampleur à ce phénomène, mais à part ça, rien n’est nouveau 🙂

    Apprendre tout au long de la vie n’a finalement pas grand chose à voir avec notre vie professionnelle. C’est un phénomène de société qui nous permet d’évoluer individuellement et de faire évoluer la société.

    Apprendre tout au long de la vie est pour moi un acte citoyen, il réclame de ne pas se reposer sur ces acquis, de rester ouvert et de chercher régulièrement à améliorer les choses. Je n’hésites pas à mettre en avant cette attitude dans le milieu professionnel, mais je considère aussi que l’intérêt professionnel n’est qu’en fait un intérêt très superficiel 🙂

  2. Certes ce n’est pas faux … mais est-ce vraiment là l’intéret d’apprendre tout au long de la vie ? Pourquoi devoir limiter le besoin d’apprendre au monde professionnel et au fait de gagner sa croûte ?
    REPONSE: Il n’est bien sûr pas question de la limiter au monde professionnel. Mais dans le monde professionnel, la nécessité d’apprendre en permanence s’impose à nous.

    L’apprentissage commence bien avant d’être employable … et heureusement il ne s’arrête pas avec notre carrière pro, et ne concerne pas que nos compétences professionnelles. Je prend par exemple plaisir à apprendre à jardiner et à cuisiner (j’ai commencé il y’a longtemps, et j’apprend encore couramment de nouvelles choses), pourtant ces compétences n’intéressent pas mon boss.
    REPONSE: J’apprends moi-même en permanence dans de nombreux domaines, et c’est un bonheur qui j’espère va encore durer très longtemps…

    Apprendre tout au long de sa vie n’est pour moi pas « choix », c’est un fait, une attitude globale : c’est ainsi que l’humain a toujours fonctionné ! Oui les NTIC ont données une autre ampleur à ce phénomène, mais à part ça, rien n’est nouveau 🙂
    REPONSE: C’est une obligation. Il n’est pas rare de trouver un employeur qui se sépare d’un salarié devenu incompétent (car non formé) pour le remplacer par un nouvel embauché compétent (car lui est formé). Il ne prend même pas la peine de former son (ancien) employé, cela est trop couteux et prend trop de temps….!!! affligeant non ?

    Apprendre tout au long de la vie n’a finalement pas grand chose à voir avec notre vie professionnelle. C’est un phénomène de société qui nous permet d’évoluer individuellement et de faire évoluer la société.
    REPONSE: les deux mon capitaine

    Apprendre tout au long de la vie est pour moi un acte citoyen, il réclame de ne pas se reposer sur ces acquis, de rester ouvert et de chercher régulièrement à améliorer les choses.
    (REPONSE: tout à fait d’accord).
    Je n’hésites pas à mettre en avant cette attitude dans le milieu professionnel, mais je considère aussi que l’intérêt professionnel n’est qu’en fait un intérêt très superficiel (REPONSE: qui nous fait vivre malgré tout)

  3. Bonjour Florence,

    La problématique est que si nous pouvions utiliser les théories du bonheur dans l’acte d’apprendre, nous pourrions peut-être limiter les risques d’échec à l’école. C’est en activant les divers éléments constitutifs de la motivation que je passe en revue, que nous pourrions espérer développer le plaisir de la découverte de la connaissance, puis le bonheur de la réussite de son appropriation en la transformant en nouvelle compétence.

    Par contre, je ne comprends pas votre référence à la « norme » ??
    Bien Cordialement
    J.F

  4. Bonjour Florence,

    Une norme est une « règle, un principe auquel on doit se référer pour juger ou agir. »
    Les aptitudes et les capacités dont je parle ne font référence à aucune norme, et c’est heureux !. Je cite des outils qui permettent de définir des tendances, des orientations psychologiques et comportementales à un moment donné. Heureusement que l’on ne peut mettre en équation un individu et le cristalliser dans une certitude absolue.
    Bien Cordialement

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