par Olivier
Profiter d’une LMS pour dynamiser une démarche participative ou collaborative
18 novembre 2007 dans Divers
3 commentaires »
Le blog e-learning Bretagne nous informe d’un intiative des enseignants du Lycée « Charles de Gaulle » à Vannes.
La plateforme Moodle est utilisée pour diffuser leurs supports de cours, majoritairement au format word. La connection en tant qu’invité permet de visualiser les cours. Visitez le site : ici.
Ce dispositif pédagogique est-il un simple centre de ressource ou permet-il une démarche participative ou collaborative ? La fonctionnalité forum a l’air activée, mais je n’ai vu aucun message.
Moodle est la plateforme utilisé majoritairement dans le monde éducatif. Pour ma part je préfère Dokeos : ces fonctionnalités permettent beaucoup plus la collaboration entres apprenants et impliquent les acteurs dans une démarche participative.
Voici les fonctionnalité de Dokeos que l’on peut activer en ce sens :
- partage de document
- forum
- blog multi-auteurs
- agenda partagé pour organiser des rencontres par chat, classe virtuelle ou physique !
Et vous, avez-vous une expérience d’utilisation des LMS ou LCMS ?
PS : Le lycée « Charles de Gaulle » semble apprécier les technologies Open Source car son site est sous SPIP 😉
Contenu supprimé à la demande de l’utilisatrice 🙁
J’ai utilisé principalement deux plateformes, Claroline et Ganesha. Je ne connais pas DOKEOS, la fonction de blog multi-auteurs me paraît intéressante (je vais regarder de plus près)
A présent je n’utilise pas de LMS (WIMS n’est pas un LMS) car je ne suis pas satisfait de la manière dont on gère les contenus (je parle des plateformes que j’ai citées), je souhaiterais que l’on puisse très simplement intégrer des contenus externes (embed des ressources youtube, scribd, etc…), de plus « la traçabilité » poussée à l’extrême (par exemple pour ganesha, on peut savoir combien de temps un apprenant passe devant un pdf ! ridicule…) ne me paraît pas pertinente et lourde à gérer (on a beaucoup d’information, ok et on fait quoi après). Ceci dit, je pense que ce sont des outils qui dans le monde de la formation continue ont toute leur place (petit groupe d’adultes) mais pour la formation initiale avec des classes de plus de 15 élèves c’est plus compliqué…
Tout d’abord merci de vos réactions !
Il est techniquement possible dans toutes ces plateformes d’intégrer des contenus externes (embed des ressources youtube, scribd) … mais techniquement ne veut pas dire que c’est une fonctionnalité prévue par la plateforme … souvent mais il faut alors passer par l’editeur de contenu HTML et coder en dur des balises HTML, ce qui n’est pas convivial et n’est pas non plus à la portée de tous.
Dokeos dispose depuis peu d’une couche auteur permettant de créer ces diapositives comme dans powerpoint … et notamment des dispositives permettant l’insertion de vidéo (embed) et d’animation flash (didactitiel, slideshare, panorama etc). Dokeos est peut être bien une solution pour toi 😉
Pour te faire ta propre idée, je t’invite à créer un cours de test sur http://campus.dokeos.com/main/auth/inscription.php?language=french (inscription gratuite, une demie-heure permet de se faire une bonne idée des capacités de création de contenu)
La traçabilité … même pour un fanas des chiffres l’information est difficillement consommable LOL
Je ne connais pas d’outils financièrement accessible qui permettrai d’analyser simplement ces chiffres. Ils existent surtout pour rassurer les décideurs sur la possibilité de suivre les apprennants et (dans le cadre de la formation professionnelle) de se faire prendre en charge les frais pédagogique par les OPCA. A noter d’ailleurs, en elearning, il n’y a que des frais pédagogique (pas de transport, repas ni hotel), donc cette tracabilité permet d’organiser en entreprise des formations sans qu’elles aient à débourser un sous. Un sujet à suivre car il est pourtant intérréssant d’analyser le temps passé par chacun sur nos contenus.
Quand à utiliser ces outils en classes de plus de 15 élèves, l’intérêt et moindre. Quoi que … cela dépendra de la matière. Une matière qui favorise l’expression ou la découverte peut y trouver son compte. Les formations en langues peuvent trouver ici un « terrain de jeu » assez sympatique. En cours de langue étrangère, si on instaure un travail commun entre deux classes (chacun dans un pays différent), la LMS deviendra un outil de partage très riche.